130verset 1
|
Nous élevons, ô tendre Père, Vers toi nos mains, vers toi nos coeurs ; Et nous t'offrons notre prière Dans un amour pieux, sincère, Comme de vrais adorateurs. |
130verset 3
|
Aimés ainsi, notre faiblesse, Dont chaque jour nous gémissons, Vient faire appel à ta tendresse, Et, par l'Esprit de la promesse, Faibles encor, nous bénissons. |
134verset 2
|
Être à tes pieds dans la tristesse, Trouvant, pour toutes mes douleurs, Ta sympathie et ta tendresse, Ta bonté qui tarit mes pleurs ; |
141verset 3
|
Le jour, je suis sous ta lumière ; La nuit, je repose en ton sein. Au matin, ton regard m'éclaire Et me guide dans mon chemin ; Et chaque soir, ô tendre Père, Tu prépares mon lendemain. |
143verset 1
|
Tu m'as aimé, toi, mon Dieu, toi, mon Père, Toi, Seigneur Jésus-Christ. Tu m'as aimé plus qu'une tendre mère L'enfant quelle nourrit. (bis) |
143verset 2
|
Je puis t'aimer, ô Dieu plein de tendresse, Qui m'aimas le premier. Je puis t'aimer, soutien de ma faiblesse, Mon fort, mon bouclier. (bis) |
144verset 1
|
À toi qui nous as fait entendre La parole de vérité, À toi qui nous as fait comprendre L'infini de ta charité, |
145verset 1
|
Les brebis de Jésus, objets de sa tendresse, Reconnaissent sa voix pour la suivre sans cesse ; Celui qui les conduit les comble de faveurs ; Il a mis son amour pour toujours dans leurs coeurs. |
148verset 1
|
Tout bonheur vient de toi, Sauveur plein de tendresse. C'est toi qui nous appris le chant de l'allégresse ; De tes grandes bontés tu couronnes nos jours, Et tu veux à jamais en bénir l'heureux cours. |
159verset 1
|
Ô Dieu qui nous appris le chant de l'allégresse, Nos coeurs à ton appel répondent en ce jour ; Mais comment oublier notre extrême faiblesse Pour pouvoir dignement célébrer ta tendresse Et louer ta bonté qui demeure à toujours ? |